Dans une maille, la somme algébrique (prenant en compte le signe)
des tensions aux bornes de chacun des dipôles vaut zéro.
Ici : U1 + U2 + U3 − U0 = 0 ou U0 = U1 + U2 + U3
La tension U (en V) aux bornes d’un dipôle de résistance R (mesurée en Ohm, de symbole Ω)
et l’intensité I (en A) le traversant sont liées par la relation :
U = R×I
Dans une maille, la somme algébrique (prenant en compte le signe)
des tensions aux bornes de chacun des dipôles vaut zéro.
Ici : U1 + U2 + U3 − U0 = 0 ou U0 = U1 + U2 + U3
Dans un noeud, la somme algébrique des intensités entrantes
est égale à la somme algébrique des intensités sortantes.
Ici : I = I1 + I2
Entre deux noeuds (= dans une même branche), l’intensité est partout identique.
La tension aux bornes de deux branches en dérivation est la même.
La tension aux bornes d’un fil est quasi nulle.
Il peut y avoir intensité sans tension.
Exemple : un fil.
Il peut y avoir tension sans intensité.
Exemple : aux bornes d’un interrupteur ouvert dans un circuit sous tension.
La puissance électrique P = U×I fournie par le générateur est distribuée
à l’ensemble des dipôles récepteurs du circuit (la somme des puissances reçues par les dipôles récepteurs vaut la puissance fournie par le générateur).
Exemple d’utilisations des lois (loi des mailles, loi des noeuds, distribution de la puissance).
Sachant que la puissance reçue par le dipôle ohmique (résistance) vaut 70 mW, déterminer toutes les valeurs manquantes :
